Articles

Affichage des articles du mars, 2008

les minorités dans la majorité et vice versa

Il n’existe pas un seul pays dans le monde complètement homogène il y a toujours des minorités dans tous les sens du mot ,culturelles,ethniques,économiques,…et si chaque pays commence à donner des indépendances ,la carte géographique,politique,…changerait. Il y a des analystes qui donnent plus d’importance à l’autonomie qu’à une indépendance. Le meilleur exemple à suivre ,pour une intégration ,maximale,est l’union européenne ;27 États ,plusieurs langues officielles et au moins trois fois plus de dialectes;en France:les bretons ,les basques ,…en GB :les écossais,…en Belgique n’en parlons pas!!…il est donc important de souligner la diversité des systèmes dans un seul État,tenir compte ne veut pas dire une dominance d’un peuple sur un autre et donc le comparative avec l’UE est toujours de mise;la loi ,le droit ,l’État de droit. Ceci suppose des conditions implicites,entre autres ,la maturité de tout le monde à vivre dans un État de droit et donc une transparence à tous les niveaux de la s

L'union pour la méditerranée

L’union pour la méditerranéen?! Est-ce un choix délibéré ou une obligation pour les pays européens ?!! Ce projet resterait attaché à son initiateur ,apparemment,pendant sa campagne présidentielle, Nicolas Sarkozy,février 2007.Il reste maintenant à le définir,lui donner un corps juridique,un financement et,surtout,des projets viables,à sa mesure;qu‘il soit intégré dans le processus de Barcelone ,avec une indépendance complète,est une idée en soi. Du point de vue politique tout semble rentrer dans l’ordre ,ce 13 mars ,lors du conseil européen dirigé par la Slovénie;deux visions,s’opposaient;une nordique menait par Angela Merkel ,et l’autre sudiste menait,par Nicolas Sarkozy;il semble donc un consensus s’est dégagé avec un espoir ,à condition que le projet ne soit pas vidé de sa substance. Car cette union pour la méditerranée ne fait que rendre à César ce qui est à César et aux pays non européen de la méditerranée leur intégration;o!combien indispensable,au système européen dans un systèm

la place d'une troisiéme force politique

les éléctions dans les pays démocratiques se jouent, en général,entre deux pôles:droite/gauche.La place d'une troisiéme force politique n'est encore pas à l'ordre du jour.Mais pour s'y faire,il faut qu'il existe une indépendance d'un levier,cela veut dire ,les alliances se font au moment opportun et,il n' y a que des politiciens chevronnés qui sachent le quand et donc leur "pinpoint" dans l'échiquier politique.Le citoyen ne demande pas mieux mais,s'il s'avére qu'il existe une défaillance du politique,ce dernier est vite remis à sa place.Les deux grands ,en réalité,n'accéptent aucun débordement et donc la série des piéges se déclenche d'elle-même.Sur le terrain,par exemple en France,comment le parti socialiste ,à Paris et même,sur le plan national,peut contenir à moyen terme, le modem de François Bayrou;certainement des complications de conditions ;ou encore l'UMP face au modem,même son de cloche...En Espagne,la troisiéme

le droit de vote

comment peut-on parler du droit de vote des immigrés de l'intérieur de l'Europe et ,oublier ceux de l'extérieur à l'Europe!il s'agit ,tout simplement d'une aberation car,l'immigré est celui qui est à l'extérieur d'un systéme politique,social,économique,voire même/ou surtout psychologique,à cette courte définition ,le droit de vote est plus vers ceux de l'exterieur que de l'intérieur de l'Europe,ce qui sgnifie ,le chomeur de longue durée,les exclus de la sociéte ,d'une façon générale,bon gré malgré les intéressés,sont les immigrés de l'intérieur car pou la raison principale,ils sont de nationalité européenne,donc par cette même voie,l'Europe dans son ensemble,comme dans chaque Etat doit légiférer sur le statut de ces nouveaux élécteurs,comme pour toutes les autres catégories des personnes(insérées par leur travail...),européennes,donc un droit de vote à toutes les élections ;régionales,locales ,nationales,européennes...et donc